Maison d'Accueil Spécialisée et Maison des Habitants de Croisilles

Projet mené avec les résidents de la Maison d’Accueil Spécialisée pour créer la plage sonore (retravaillé ensuite par Maximien Aldebert). Le groupe « Si on chantait » de la Maison des Habitants à écrit un poème sur le thème de la différence. Celui-ci a été mis en rap avec James IzCray.

RPI 94 - Beaulencourt, Le Sars, Ligny-Thilloy, Martinpuich, Riencourt-lès-Bapaume, Villers-au-Flos

Projet mené avec les cinq classes du RPI 94. Les classes de maternelles ont réalisé le son avec les instruments présents dans le parc instrumental du RPI, capté et retravaillé par Maximien Aldebert. Les classes d’élémentaires ont réalisés le poème puis ont été captés afin de créer une chanson sur le thème de la musique.

EHPAD "L'Orée des Champs" de Croisilles

Captation des échanges de James IzCray avec les résidents de l’EHPAD afin de réaliser un son avec Mystraw du groupe PLDG (Pour l’Amour Du Groove), mélangeant beatbox et témoignages.

École de Gomiécourt

Après une introduction faite sur le rap et sa définition, les élèves de l’école de Gomiécourt ont mis en rap une fable sur le thème du harcèlement intitulé Les villageois et le Serpent.

École de Chérisy

Les élèves et l’enseignante de l’école de Chérisy ont mis en rap un poème de Jules Mousseron intitulé L’Briquet, en référence au repas du mineur. 

Écoles de Barastre et de Rocquigny

Les deux classes des écoles de Barastre et de Rocquigny ont souhaité faire un projet commun, avec la création du son fait par la classe de maternelle et retravaillé par Maximien Aldebert. La classe d’élémentaire a travaillé sur un chant folklorique et l’ont mis en rap sur le son produit.

 

Musée de Bullecourt

Après visite du musée par l’artiste, celui a écrit un poème basé sur la lettre d'un soldat australien ayant combattu à Bullecourt. Ce poème a ensuite été lu par des habitants de la commune et par les médiateurs du musée qui ont été enregistré afin d’être posé sur le son produit par Maximien Aldebert, avec des instruments que les soldats pouvaient jouer lors des temps d’accalmie dans les tranchées, mais aussi le témoignage de Chris Smith, descendant d’un soldat australien mort à Bullecourt.